Manimalworld
Manimalworld Encyclopédie des animaux sauvages

Coyote (Canis latrans)


Le coyote (Canis latrans), mammifère carnivore de la famille des canidés, est l'un des prédateurs les plus adaptables d’Amérique du Nord. Présent depuis le Canada jusqu’au Panama, il a su tirer parti des transformations écologiques causées par l’homme, étendant son aire de répartition bien au-delà de ses habitats historiques. Souvent confondu avec le loup gris en raison de sa morphologie semblable, le coyote se distingue toutefois par sa taille plus modeste, son comportement plus opportuniste et sa grande capacité à coexister avec les humains, y compris dans les zones urbaines. Doté d’une intelligence remarquable et d’un régime alimentaire flexible, il joue un rôle clé dans les écosystèmes en régulant les populations de petits animaux.


Coyote (Canis latrans)
Coyote (Canis latrans)
© VJ Anderson - Wikimedia Commons
CC-BY-SA (Certains droits réservés)



DESCRIPTION

Le coyote présente une morphologie élancée et agile, bien adaptée à la course et à la chasse sur de longues distances. Sa taille varie généralement entre 75 et 100 centimètres de longueur (sans la queue) et son poids oscille entre 8 et 20 kilogrammes, les individus vivant dans les régions nordiques étant en moyenne plus corpulents que ceux des zones plus méridionales. La queue touffue, portée basse, mesure entre 30 et 40 centimètres. Le dimorphisme sexuel est peu marqué, bien que les mâles soient légèrement plus grands que les femelles.

Le pelage, généralement gris-brun avec des teintes rousses sur les flancs et les pattes, s’adapte aux saisons, devenant plus dense en hiver. Ses pattes fines mais robustes et ses coussinets résistants permettent au coyote de parcourir de longues distances, parfois jusqu’à 16 kilomètres par nuit.

Sa tête est étroite, dotée d’un museau pointu et de grandes oreilles dressées qui lui confèrent une ouïe fine. Ses yeux jaunes et expressifs témoignent de son acuité visuelle, tandis que sa truffe noire accentue son flair développé. Il possède 42 dents, dont des canines acérées pour saisir et tuer ses proies, ainsi que des molaires adaptées à la mastication d’aliments variés. Son agilité, sa discrétion et son endurance en font un prédateur efficace, même dans les environnements anthropisés.

Comme tous les canidés, le coyote possède, à la base de la queue, une glande qui dégage une odeur. On trouve aussi des glandes du même genre dans d'autres parties de son corps. Il arrive souvent que les glandes odorantes deviennent plus actives lorsque les animaux se rencontrent. L'urine du coyote sent très fort et sert à délimiter son territoire.


Canis latrans
Canis latrans
© Joern Hauke - Wikimedia Commons
CC-BY-SA (Certains droits réservés)

CRI DU COYOTE

Ce qui caractérise le mieux le coyote, comme le loup d'ailleurs, c'est son jappement et son hurlement qui sont une suite d'aboiements sur un ton aigu et perçant. Le coyote peut aussi glapir, grogner, gémir et crier. Habituellement silencieux le jour, il peut se faire entendre à n'importe quel moment du coucher au lever du soleil, mais plus particulièrement au crépuscule et à l'aube.

S'il y a plusieurs coyotes dans le même voisinage, le hurlement de l'un d'eux déclenche infailliblement celui des autres, ce qui peut donner lieu à de véritables concerts de hurlements. Deux coyotes qui hurlent à l'unisson peuvent donner l'impression d'un choeur de 12 voix ou plus. En outre, le cri du coyote peut sembler venir de plus loin que le lieu où se trouve l'animal.

Le hurlement du coyote, qui semble être un moyen de communication, intrigue les scientifiques. Le cri déclenche invariablement une réponse, puis une sorte de commentaire suivi d'un autre cri prolongé, et enfin, une envolée de glapissements rauques. Est-il question de nourriture, d'amours ou de territoire ? Ou est-ce simplement une manifestation de la joie de vivre ou d'un esprit de sociabilité ? Le coyote aime jouer avec ses semblables, ou même avec sa victime avant de la dévorer.

On ne compte pas moins de 11 sons différents émis par le coyote. Les cris les plus courants sont le jappement, le gémissement, l'aboiement, le hurlement ou le grognement.


Coyote des plaines (Canis latrans latrans)
Coyote des plaines (Canis latrans latrans)
© Madeleine H. - Wikimedia Commons
CC-BY (Certains droits réservés)

HABITAT

Les coyotes étaient originaires des régions arides et ouvertes des États-Unis, du Canada et du Mexique avant la colonisation européenne. Au cours du XIXe siècle, ils se sont répandus dans des biomes forestiers qu'ils n'utilisaient pas auparavant, notamment les forêts décidues de l'est, les forêts de taïga du nord, les forêts pluviales tempérées du nord-ouest et les forêts tropicales du sud. La fragmentation des forêts par l'agriculture et l'extinction de grands prédateurs comme le loup gris (Canis lupus) et le jaguar (Panthera onca) auraient facilité leur expansion. L'hybridation avec les chiens et les loups a également joué un rôle dans leur expansion vers l'est. Les coyotes ont désormais colonisé toute l'Amérique du Nord, à l'exception des zones polaires, et se rapprochent de la frontière entre l'Amérique centrale et l'Amérique du Sud dans la région du Darien, au Panama.

Les coyotes utilisent presque tous les habitats disponibles, y compris les prairies, les forêts, les déserts, les montagnes et les écosystèmes tropicaux. Leur capacité à exploiter les ressources humaines leur permet d'occuper les zones urbaines. Leur récente expansion dans l'est du Panama a été attribuée à leur utilisation des zones déboisées et des zones d'élevage bovin. La disponibilité de l'eau pourrait limiter la répartition du coyote dans certains environnements désertiques.


Canis latrans repartition
     Répartition actuelle du coyote
© Manimalworld
CC-BY-NC-SA (Certains droits réservés)

ALIMENTATION

Le coyote est un omnivore opportuniste dont le régime alimentaire est l’un des plus variés parmi les carnivores nord-américains. Son alimentation dépend fortement de la saison, de la disponibilité locale des ressources et de son habitat. Dans les zones rurales ou sauvages, il se nourrit principalement de petits mammifères comme les campagnols, les lapins à queue blanche, les tamias et les écureuils. Il capture également des oiseaux, des reptiles, des amphibiens et des invertébrés.

En hiver, quand la chasse devient plus difficile, le coyote consomme des charognes, souvent celles laissées par les loups ou les ours, ou issues d’animaux tués sur les routes. Dans les régions agricoles, il s’attaque parfois aux volailles ou aux petits ruminants, bien que cela reste marginal à l’échelle de son régime global. Le coyote complète aussi son alimentation par des végétaux : il consomme des fruits sauvages comme les baies, les pommes, les melons, ainsi que des graines et des racines. En milieu urbain, il tire profit des déchets humains, des croquettes pour animaux domestiques ou des animaux de compagnie errants. Il enterre parfois des excédents de nourriture pour les consommer plus tard.

Cette capacité à ajuster sa diète lui permet de survivre dans des écosystèmes très divers, allant des déserts aux banlieues densément peuplées. Il chasse généralement seul ou en couple, mais peut coopérer en petits groupes pour traquer des proies plus grandes comme des jeunes cerfs. Son régime alimentaire polyvalent explique en grande partie son expansion réussie sur le continent américain et sa résilience face aux perturbations écologiques.


Coyote de la péninsule (Canis latrans peninsulae)
Coyote de la péninsule (Canis latrans peninsulae)
© Gerardo Marrón - iNaturalist
All rights reserved (Tous droits réservés)

REPRODUCTION

Les coyotes semblent être monogames et les couples peuvent demeurer ensemble de nombreuses années. Le mâle et la femelle peuvent s'accoupler à l'âge de un an lorsque les conditions sont propices, bien qu'en général le premier accouplement se fasse beaucoup plus tard. À la saison de reproduction, en général entre février et mars, les mâles cherchent à gagner les bonnes grâces des femelles. Après l'accouplement la période de gestation dure entre 60 et 63 jours.

Le coyote utilise une tanière pour la naissance et les soins des petits. Celle-ci peut être aménagée à la base d'un arbre creux ou dans un trou entre les roches, bien que la plupart du temps il s'agisse d'un terrier dans le sol. Il a une préférence pour les rives d'un cours d'eau ou les flancs d'une gorge pourvu que l'abri soit bien caché. Souvent, il agrandit un terrier abandonné par une marmotte ou un blaireau. Il arrive que la femelle prépare d'autres gîtes pour que sa famille puisse déménager en cas de danger. La terre repoussée vers l'entrée est entassée en un monticule qui prend la forme d'un éventail. En entrant ou en sortant, l'animal contourne ce monticule. Le même abri pourra resservir plusieurs années de suite.

À la naissance des petits, la femelle nettoie la tanière à fond. En moyenne, la portée compte de 3 à 7 petits. Ils ont une fine fourrure brune, et leurs yeux restent fermés pendant 8 à 9 jours.


Coyote baie de Bodega, Californie.jpg
Coyote dans la Baie de Bodega, Californie, États-Unis
© Don McCullough - Flickr
CC-BY-NC (Certains droits réservés)

Le mâle reste dans les environs et apporte de la nourriture à l'entrée du gîte aussi longtemps que les petits ne se hasardent pas à sortir de la tanière. Les adultes enlèvent les déchets à mesure qu'ils s'accumulent. Le sevrage, période où la mère cesse peu à peu de les allaiter, a lieu environ un mois après la naissance. Par la suite, les parents régurgitent, c'est-à-dire font revenir les aliments de leur estomac dans leur bouche, les aliments à demi digérés pour nourrir les petits.

Vers l'âge de 3 semaines, les petits commencent à s'ébattre sous l'oeil vigilant des adultes, d'abord dans la tanière puis en dehors. Si un ennemi s'aventure trop près, l'adulte émet un aboiement spécifique en guise d'avertissement et entraîne celui-ci au loin. La maturité sexuelle est atteinte entre 10 mois et 1 an. La reproduction chez le coyote est influencée par la densité de population : lorsque les taux de mortalité augmentent (par exemple à cause de la chasse), les portées deviennent plus grandes et plus fréquentes, un phénomène connu sous le nom de surcompensation démographique.

À l’état sauvage, le coyote vit en moyenne entre 6 et 8 ans, bien que certains individus puissent atteindre 10 à 14 ans dans des conditions favorables. En captivité, où les risques de prédation, de maladies et de collisions routières sont absents, il peut vivre jusqu’à 18 à 20 ans. La mortalité juvénile est élevée durant les premiers mois, en raison des maladies, des prédateurs et des accidents. La longévité du coyote dépend fortement de facteurs environnementaux, de l’abondance des ressources alimentaires et de la pression exercée par l’homme. Malgré une espérance de vie relativement courte dans la nature, le coyote compense par une reproduction rapide et efficace, assurant ainsi la pérennité de ses populations.


Coyote du Rio Grande inférieur (Canis latrans microdon)
Coyote du Rio Grande inférieur (Canis latrans microdon)
© Juan Cruzado Cortés - iNaturalist
CC-BY-SA (Certains droits réservés)

PRÉDATION

Le coyote, bien qu’il soit un prédateur performant, est lui-même la proie de plusieurs espèces selon l’âge et l’habitat. Les jeunes, en particulier, sont vulnérables aux attaques de rapaces comme les aigles royaux (Aquila chrysaetos) ou les grands-ducs d’Amérique (Bubo virginianus), ainsi qu’aux carnivores terrestres tels que les pumas (Puma concolor), les lynx roux (Lynx rufus) ou les loups gris (Canis lupus), ces derniers pouvant éliminer les coyotes en tant que compétiteurs. Les ours noirs américain (Ursus americanus) peuvent également tuer des coyotes lors d’interactions compétitives autour d’une carcasse.

Le coyote a développé divers comportements pour échapper à la prédation : déplacements nocturnes, vigilance accrue, choix de sites de repos discrets et coopération sociale lorsqu’il vit en groupe. Son agilité, sa discrétion et sa connaissance de son environnement immédiat le rendent difficile à surprendre, même dans les paysages fragmentés par l’activité humaine.


Coyote de Mearns (Canis latrans mearnsi)
Coyote de Mearns (Canis latrans mearnsi)
© g'pa bill - Wikimedia Commons
CC-BY-SA (Certains droits réservés)

MENACES

La fourrure de coyote est toujours recherchée par les trappeurs dans toute son aire de répartition, et les niveaux de récolte dépendent du prix de la fourrure, des réglementations locales et étatiques, ainsi que des usages et pratiques traditionnels. De nombreux États et provinces considèrent le coyote comme une espèce à fourrure, avec des réglementations variables quant aux méthodes de prélèvement, aux limites de prises et aux saisons. Certaines fourrures sont également vendues à l'étranger (par exemple en Russie et en Chine).


Coyote des plaines du Texas (Canis latrans texensis)
Coyote des plaines du Texas (Canis latrans texensis)
Crédit photo: Alex Kantorovich - Zooinstitutes

CONSERVATION

Les coyotes sont abondants dans toute leur aire de répartition et leur répartition s'accroît à mesure que l'homme continue de modifier le paysage. Selon la classification actuelle de l'IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature), l'espèce n'est pas considérée comme menacée et est classée dans la catégorie "Préoccupation mineure" (LC).

Sa présence est confirmée dans presque toutes les aires protégées de son aire de répartition. Plus de 2 000 coyotes sont présents en captivité dans des zoos, des centres de la faune, etc., dans toute leur aire de répartition. Ils se reproduisent facilement en captivité et leur taux de survie est élevé.

Les coyotes sont aujourd'hui très nombreux, et leur présence s'étend sans cesse. Ce succès est en grande partie dû aux modifications du paysage par l'homme, qui créent des habitats favorables. De plus, la disparition des grands prédateurs naturels, tels que les loups et les jaguars, a probablement ouvert la voie à leur expansion.

La densité des populations de coyotes varie considérablement en fonction de plusieurs facteurs clés :

- La disponibilité de la nourriture et les conditions climatiques locales influencent directement le nombre de coyotes qu'une zone peut supporter.

- Les densités fluctuent au fil des saisons. Elles sont affectées par la mortalité naturelle, les changements dans la structure des meutes et l'abondance saisonnière des proies.

Par exemple, les densités hivernales au Yukon peuvent être très faibles, allant de 0,01 à 0,09 coyote par km². En revanche, au Texas, elles peuvent atteindre 0,9 coyote par km² en automne et même 2,3 coyotes par km² en été, après la période de mise bas.

Bien que des mesures de contrôle ciblées puissent réduire temporairement les populations de coyotes dans certaines zones, ces réductions sont rarement durables. Les populations se rétablissent rapidement grâce à deux mécanismes principaux : repeuplement des territoires vacants et reproduction efficace pour compenser rapidement les pertes.

En conséquence, la plupart des populations de coyotes sont généralement stables ou en augmentation, témoignant de leur extraordinaire adaptabilité.


Coyote de la vallée de Californie (Canis latrans ochropus)
Coyote de la vallée de Californie (Canis latrans ochropus)
© Alejandro Ramos Hurtado - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)

TAXONOMIE

Le nom scientifique Canis latrans a été donné par Thomas Say en 1823, signifiant "chien aboyeur" en latin, une référence aux vocalises distinctives de l'animal.

Le genre Canis aurait émergé en Amérique du Nord. Les analyses morphologiques de crânes de canidés fossiles et actuels suggèrent que le coyote et le chacal doré sont apparentés à l'espèce fossile Canis edwardii, qui a vécu du Pliocène supérieur au Pléistocène supérieur en Amérique du Nord.

Vers le Pliocène (il y a environ 5 millions d'années), Canis lepophagus, une espèce plus grande, est apparue. Des scientifiques ont proposé une progression évolutive linéaire d'Eucyon davisi à Canis lepophagus jusqu'au coyote moderne, qui est apparu au Pléistocène inférieur (il y a environ 1 million d'années). Les premières populations de coyotes avaient des crânes plus délicats et étroits, ressemblant à de petits coyotes actuels, ce qui les identifie comme des ancêtres directs de l'espèce moderne.

Les coyotes du Pléistocène (Canis latrans orcutti) étaient plus grands et plus robustes que leurs homologues de l'Holocène, probablement en réponse à la présence de compétiteurs et de proies également plus grandes à cette époque. Les coyotes modernes tels que nous les connaissons sont apparus environ 1 000 ans après l'extinction du Quaternaire.

Actuellement, il existe 19 sous-espèces reconnues de Canis latrans, chacune adaptée à des régions spécifiques d'Amérique du Nord et centrale. Ces sous-espèces présentent des variations de taille, de couleur de pelage et de caractéristiques physiques, reflétant leur adaptation aux différents habitats (déserts, forêts, prairies, zones urbaines).

- Canis latrans cagottis

- Canis latrans clepticus

- Canis latrans dickeyi

- Canis latrans frustror

- Canis latrans goldmani

- Canis latrans hondurensis

- Canis latrans impavidus

- Canis latrans incolatus

- Canis latrans jamesi

- Canis latrans latrans

- Canis latrans lestes

- Canis latrans mearnsi

- Canis latrans microdon

- Canis latrans ochropus

- Canis latrans peninsulae

- Canis latrans texensis

- Canis latrans thamnos

- Canis latrans umpquensis

- Canis latrans vigilis

Le coyote est également connu pour sa capacité à s'hybrider avec d'autres espèces du genre Canis, notamment le loup gris et le chien domestique, donnant naissance à des hybrides comme le "Coyloup" et le "coydog". Ces hybridations contribuent à la diversité génétique et à l'adaptabilité de l'espèce.

Le coyote a montré une remarquable capacité à s'adapter et à étendre son aire de répartition, qui s'étend aujourd'hui de l'Alaska et du Canada jusqu'au Costa Rica. Contrairement à de nombreux autres grands carnivores, il a non seulement survécu aux pressions humaines, mais a même prospéré et s'est étendu dans des zones modifiées par l'homme, y compris les milieux urbains. Cette expansion est en partie due à la réduction des populations de grands prédateurs concurrents et à son régime alimentaire omnivore très flexible.


Coyote du Nord-Est (Canis latrans thamnos)
Coyote du Nord-Est (Canis latrans thamnos)
© Keith Dickey - iNaturalist
CC-BY-NC (Certains droits réservés)

CLASSIFICATION


Fiche d'identité
Nom communCoyote
English nameCoyote
American Jackal
Español nombreCoyote
RègneAnimalia
EmbranchementChordata
Sous-embranchementVertebrata
ClasseMammalia
Sous-classeTheria
Infra-classeEutheria
OrdreCarnivora
Sous-ordreCaniformia
FamilleCanidae
GenreCanis
Nom binominalCanis latrans
Décrit parThomas Say
Date1823



Satut IUCN

Préoccupation mineure (LC)

FICHE POUR ENFANTS

Retrouvez ci-dessous une fiche simplifiée du coyote pour les enfants pour qu'eux aussi puissent apprendre à connaître les différentes espèces animales qui peuplent notre planète.


Coyote fiche pour enfants
Fiche pour enfants du coyote
© Manimalworld
CC-BY-NC-SA (Certains droits réservés)

SOURCES

* Liens internes

Arkive

iNaturalist

Liste rouge IUCN des espèces menacées

Système d'information taxonomique intégré (ITIS)

Wikipédia

* Liens externes

Don McCullough - Flickr

Wikimedia Commons

Zooinstitutes

* Bibliographie

Bekoff, M. (1977). Canis latrans. Mammalian Species, 79, 1–9.

Way, J. G. (2007). Suburban Howls: Tracking the Eastern Coyote in Urban Massachusetts. Dog Ear Publishing.

Hody, J. W., & Kays, R. (2018). Mapping the expansion of coyotes (Canis latrans) across North and Central America. Zoological Journal of the Linnean Society, 184(2), 518–528.

Sacks, B. N., et al. (2004). Hybridization between wild and domestic canids in the United States. Conservation Biology, 18(5), 1475–1486.

Wilson, D. E., & Reeder, D. M. (Eds.). Mammal Species of the World – 3rd edition (2005). Johns Hopkins University Press.

Larivière, S., & Pasitschniak-Arts, M. (1996). Canis latrans. In: Feldhamer, G.A., Thompson, B.C., & Chapman, J.A. (Eds.), Wild Mammals of North America: Biology, Management, and Conservation. Johns Hopkins University Press.

Nowak, R. M. (1999). Walker's Mammals of the World, 6th Edition. Johns Hopkins University Press.

Meinzer, Wyman. (1995). Coyote. Texas Tech University Press.

Dobie, J. Frank. (2006). The Voice of the Coyote. University of Nebraska Press.

Macdonald, D. W. & Sillero-Zubiri, C. (Eds.) (2004). The Biology and Conservation of Wild Canids. Oxford University Press.

Wang, X. & Tedford, R. H. (2008). Dogs: Their Fossil Relatives and Evolutionary History. Columbia University Press.

Meinzer, Wyman. (1995). Coyote. Texas Tech University Press.