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Manimalworld Encyclopédie des animaux sauvages

Baleine


Les baleines sont des mammifères marins appartenant à l'ordre des cétacés. Deux sous-ordres sont reconnus : les mysticètes (Mysticeti) et les odontocètes (Odontoceti). Les mysticètes regroupent les baleines à fanons et les odontocètes englobent les baleines à dents. De nombreuses espèces de baleines, suite à une pêche intensive, sont en voie de disparition. Elles sont, en effet, recherchées pour leur chair et leur graisse. Aujourd’hui, des traités internationaux limitent de façon très stricte la pêche à la baleine.


Baleines
Les baleines
Source: Mapworld, Australia



ÉVOLUTION

Tous les cétacés, y compris les baleines, les dauphins et les marsouins, sont les descendants de mammifères terrestres ayant appartenu à l’ordre des ongulés et plus précisément des artiodactyles. Après l’extinction des dinosaures, il y a environ 65 millions d’années, les quelques mammifères terrestres qui ont survécu au cataclysme ont dû s’adapter et s’approcher des rivages pour se nourrir de poissons. Ces derniers ayant également échappé à l’extinction. Ce fut notamment le cas des ongulés, ancêtres des ichtyosaures.

À partir de là, les membres antérieurs vont s’adapter pour la nage évoluant ainsi en nageoire. Les membres postérieurs vont disparaître, et la queue va suivre une lente évolution pour devenir une nageoire.

Parmi ces mammifères, on retrouve le mesonyx qui ressemblait à un gros chien à poil long. Ses pattes comptaient cinq doigts munis non pas de griffes, mais d’ongles robustes. Si le monde scientifique a longtemps cru que le mesonyx était l’ancêtre des baleines, on a récemment découvert qu’il s’agissait, en fait, du pakicetus. D’autres mammifères vont devenir marins comme l’ambulocetus ou le zeuglodon (Basilosaurus).

Avec l’arrivée de la période du miocène, on assiste à une véritable explosion du nombre d’espèces de baleines. C’est aussi à cette période que l’ordre se divise en deux : les odontocètes et les mysticètes.


Zeuglodon
Le zeuglodon est un ancêtre des baleines modernes

ANATOMIE

Comme tous les mammifères, les baleines sont des animaux à sang chaud et doivent absolument respirer de l’air pour vivre. Sous la peau se trouve une épaisse couche de graisse pouvant atteindre 12 à 18 cm d’épaisseur. Cette graisse stockée permet d’isoler l’animal du froid des profondeurs. On a longtemps cru que la baleine était un poisson, mais la colonne vertébrale et un os pelvien résiduel nous rappellent rapidement que c’est bien un mammifère.

Les tailles et les formes sont variées puisque le plus petit dauphin mesure moins de 1 m de long et le plus grand étant le rorqual bleu mesure environ 25 m de long. Ce dernier est actuellement le plus grand animal de notre planète.

La forme du corps est fusiforme et les ailerons en forme de palette. L’extrémité de la queue se compose de deux flets, qui propulsent l’animal grâce à un mouvement vertical, par opposition au mouvement horizontal d’une queue de poisson. Les membres antérieurs conservent un squelette comparable à celui d’une main, les phalanges étant incluses dans la peau. Il existe parfois un aileron dorsal, souvent prolongé par un repli cutané qui a son symétrique ventral.

Les baleines respirent par l’intermédiaire des évents. Les baleines à fanons en ont deux et les baleines à dents n'en ont qu'un seul. L’évent est une fente arrondie protégée par un repli de fibres graisseuses et de puissants muscles en actionnent l’ouverture. Lorsqu’elle descend en plongée, la baleine inspire un volume d’air suffisant pour remplir ses poumons et l’évent se ferme automatiquement. La forme de l’évent diffère suivant les espèces et peut même aider à l’identification.


Baleine anatomie
Anatomie d’une baleine

HABITAT

Les baleines vivent dans tous les océans du globe. Il existe deux facteurs qui déterminent la répartition des baleines dans les océans : la température des eaux superficielles et la quantité de nourriture disponible. Les baleines s’alimentent dans les zones d’upwelling (région où les substances nutritives remontent en surface avec les eaux profondes) et les zones de rencontre de courants marins où se concentre le plancton.


Baleines 02
Carte de répartition des baleines

ALIMENTATION

Le régime alimentaire des baleines varie selon qu’il s’agisse de baleines à fanons ou de baleines à dents, tout comme la manière de se procurer les proies est différente. Les baleines à fanons filtrent à travers leurs fanons leur nourriture composée de petits organismes comme le krill, le plancton ou encore de petits poissons. Les baleines à dents attrapent directement leur proie pour ensuite les avaler d’un seul coup. Leurs plats préférés sont les poissons et les calmars. Il arrive néanmoins qu’un bon repas soit composé de phoques et d’otaries.


Baleine à bosse
La baleine à bosse est une baleine à fanons

REPRODUCTION

Les organes reproducteurs des baleines se trouvent dans leur corps. L’accouplement se déroule principalement dans les eaux chaudes ou tempérées. Il s’effectue généralement ventre contre ventre, bien que les stratégies varient selon les espèces de baleines.

La femelle atteint sa maturité sexuelle vers l’âge de 5 ou 7 ans. Dans le meilleur des cas, elle pourra engendrer un petit chaque année tout au long de sa vie. Malheureusement, les jeunes baleineaux ne survivront pas tous et la femelle n’aura peut-être pas l’occasion de concevoir chaque année de sa vie. Le succès de reproduction d’une femelle dépendra entre autres de ses qualités physiques, de la nourriture disponible, des conditions environnementales, de la taille de la population et de la présence de prédateurs.

Le mâle peut, contrairement de la femelle, se reproduire plusieurs fois par an. Comme pour la plupart des espèces, il peut avoir l’occasion de s’accoupler avec plusieurs femelles. À savoir, également que le mâle ne participe pas à l’éducation des baleineaux, laissant cette tâche à la mère ou encore à d’autres membres de la famille.

Comme pour tous les mammifères, la baleine est vivipare. Le baleineau se développe dans l’utérus de la mère. La période de gestation varie également selon les espèces. Chez les mysticètes, elle dure entre 10 et 13 mois alors que chez les odontocètes, elle dure entre 10 et 17 mois. Cette période ne dépend aucunement de la taille de la baleine. Par exemple, un petit cétacé comme le marsouin commun restera 11 mois dans le ventre de sa mère, ce qui est autant qu’un rorqual qui est beaucoup plus gros. Le développement du globicéphale dure entre 15 et 16 mois, ce qui est plus long que pour le rorqual bleu, le plus gros bébé au monde.

Dès qu’il naît, le baleineau doit être capable de nager, de voir, d’entendre et de vocaliser. Dès sa naissance, il doit impérativement remonter à la surface pour prendre sa première respiration afin d'éviter la noyade. À peine né, il a les yeux bien ouverts et peut immédiatement suivre sa mère. Celle-ci reste généralement près de son petit. Elle peut l’aider à venir respirer et le défendre. Souvent d’autres baleines du même groupe aident le baleineau en le protégeant.

Les cétacés à fanons allaitent leurs petits pendant environ 6 mois après quoi le baleineau est indépendant. Pour les cétacés à dents, les petites espèces allaitent pendant une période moins longue que les grosses espèces. Les dauphins, par exemple, allaitent pendant moins d’un an, alors que le grand cachalot l’allaitement peut aller jusqu’à 13 ans. Le jeune rorqual bleu engraisse de 4 kilogrammes par heure soit 95 kilogrammes par jour. La durée de l’allaitement dure 6 mois pour le petit rorqual et 8 mois pour le rorqual commun et le rorqual bleu. La période pendant laquelle la mère reste avec son petit est une période de transmission d’informations.


Orque ou épaulard
L’orque ou épaulard est une baleine à dents

MIGRATION

Les migrations des baleines sont souvent motivées par un besoin de trouver des aires d’alimentation ou par un besoin de se reproduire. Pour ces raisons, on observe un va-et-vient des baleines entre les régions polaires l’été, qui se trouvent être des endroits propices et riches en nourriture, et les eaux plus chaudes en hiver pour pouvoir s’y reproduire.

Les baleines se repèrent dans leurs déplacements grâce à la sensibilité de leur peau qui leur permet de différencier la température de l’eau et donc d’identifier les zones dans lesquelles elles se trouvent. On estime aussi que les baleines arrivent à distinguer les zones grâce aux variations de la force magnétique qui varient selon les endroits du globe.

Lors de ces cycles migratoires, les cétacés à fanons ne se nourrissent pas, vivant de leurs réserves de graisse pendant des périodes atteignant 8 mois dans l’année. Pour les femelles ayant des petits, la perte totale de poids peut atteindre 50 % ce qui pour un rorqual bleu représente une perte de 81 tonnes.

Les baleines grises du Pacifique migrent au début de l’hiver vers le sud pour se reproduire dans les lagunes chaudes et peu profondes le long des côtes mexicaines. À partir du mois de février, elles partent à nouveau vers le nord pour se nourrir le long de la côte de l’Alaska et dans la mer de Beaufort. Les mères restent dans les zones de reproduction un peu plus longtemps, afin de permettre à leur petit de prendre assez de force pour le long trajet qui les attend.

Les baleines à bosse suivent à peu près le même scénario. Elles se reproduisent autour des Antilles, migrant vers les côtes occidentales de l’Océan Atlantique au printemps. Ensuite, elles se dispersent dans les zones d’alimentation entre le golfe du Maine et l’Islande. Une population moins importante migre entre la Norvège, l’Afrique occidentale et les îles du Cap-Vert. Les baleines à bosse du Pacifique nord se reproduisent le long de la côte du Mexique, autour des îles Hawaï et des îles méridionales du Japon, se nourrissent le long des côtes du bassin Pacifique septentrional. La plupart des baleines australes restent au milieu de l’océan austral, mais certaines se nourrissent au bord de la banquise de l’Antarctique. Leurs zones de reproduction côtières se situent principalement le long des côtes méridionales de l’Afrique, en Amérique du Sud et en Australie.

Les baleines à dents n’ont pas une migration si précise. En fait, bon nombre d’entre elles sont nomades plutôt que migratrices. L’unique migration connue est celle du grand cachalot. Alors que les femelles et les jeunes mâles restent dans les eaux chaudes en été, les mâles adultes se dirigent vers les eaux polaires pour se nourrir de calmars et rejoignent les femelles en hiver pour se reproduire.

Il est possible qu’avant la dérive des continents, les lieux de migrations étaient beaucoup plus proches, et que les baleines ont simplement continué à se rendre à ces mêmes endroits tandis qu’ils s’éloignaient. Peut-être que les cétacés à fanons se reproduisent-ils loin des eaux de l’Antarctique pour éviter la prédation de leurs petits par les orques. Cela expliquerait, entre autres, que certains individus qui ne se reproduisent pas renoncent à la migration, économisant ainsi une grande quantité d’énergie. Les rorquals bleus et les rorquals communs sont les voyageurs les plus puissants : on a signalé un rorqual commun se déplaçant à une moyenne de 17 km à l’heure sur 3 700 km.


Baleine albinos
Les observations de baleines albinos sont très rares

MENACES

Les baleines ont été très longtemps chassées pour leur chair, et leur graisse qui fut largement utilisée par l’industrie cosmétique. Jusqu’en 1987, il existait des usines flottantes traitant la graisse sur place. À cause de cette chasse intensive, de nombreuses espèces sont en voie de disparition. Des traités internationaux limitent aujourd’hui de façon très stricte la chasse à la baleine. Aujourd’hui, cette pratique n’est plus justifiable (autant qu’un massacre puisse l’être). Pourtant, le Japon, la Corée et la Norvège continuent à prélever des cétacés au nom de la recherche. Ces pays invoquent entre autres l’impact négatif qu’auraient les cétacés sur les stocks de poissons dont leur économie dépend. Ils chassent des espèces en minimisant la menace d’extinction tout en avançant comme justification la recherche scientifique.

L’argument scientifique est largement contesté par des ONG telles que Greenpeace et Sea Shepherd constatant l’apparition de la chair de baleine aux menus des restaurants. Ces ONG considèrent qu’il s’agit là d’un détournement du moratoire. L’impact des cétacés sur l’écosystème est largement controversé et, pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes. La disparition des baleines dans nos océans entraînerait irrémédiablement la disparition de nombreuses espèces de planctons dont dépendent de nombreux poissons et crustacés. Le cadavre des baleines est lui-même à la base d’une chaîne alimentaire océanique. Espérons que les jeunes générations des pays concernés prennent conscience de l’urgence à arrêter cette tuerie qui se fait au nom de la science.

Des sanctuaires de la paix ont été créés, en Antarctique en 1994, en Méditerranée en 1999 et en Polynésie française en 2002. Les plongeurs amis de la faune marine peuvent aller nager avec ces magnifiques animaux. Contrairement à l’homme qui se dit "évolué", la baleine fait preuve à notre égard d’un humanisme que nous leur avons toujours refusé.

Les baleines, comme toute autre espèce animale, méritent notre respect. Pour tous les néophytes et les sceptiques, cette citation issue du site Dinosoria pourrait les amener à réfléchir : " n’oubliez pas que l’océan est une source inestimable de richesses. Si nous continuons à considérer nos océans comme des poubelles, dans quelques décennies, ils se transformeront en désert. Si dans le passé, l’extinction des espèces a été due à des phénomènes naturels, il est à craindre que les extinctions à venir soient le seul fait de l’Homme, à commencer par la notre".


Chasse à la baleine
La chasse à la baleine dans le monde

MYTHES ET LÉGENDES

De l’animal biblique jusqu’à la vedette de cinéma, le mythe de la baleine aura fait couler beaucoup d’encre. Dans le bestiaire des animaux légendaires, la baleine occupe une place de choix suscitant autant la terreur que la fascination. À travers les siècles et le monde entier, le mythe de la baleine a été colporté par des récits, des contes et des légendes.

Les fonds marins ont longtemps représenté un mystère peuplé de créatures ayant le pouvoir d’exercer le bien et le mal. Le passage par le ventre de la baleine symbolise à la fois le trésor caché, la descente aux enfers ou encore un passage initiatique avant la résurrection.

Dans la Bible, le Léviathan, parfois apparenté à une baleine, était capable de détruire le monde et d’avaler les âmes. Le prophète Jonas, jugé responsable d’une tempête qu’il avait prédite, est jeté à l’eau puis mangé par le "grand poisson". Il demeure dans son estomac trois jours et trois nuits avant d’être régurgité. Dans la tradition islamique, la baleine représente le symbole du support du monde et ses soubresauts sont des tremblements de terre.

La légende de Saint Brendan nous raconte que cet abbé irlandais vivant au VIe siècle accosta une île, y dressa un campement, alluma un feu jusqu’à ce qu’il s’aperçoive qu’il se trouvait sur le dos d’une baleine prête à plonger. Le roman de Melville, intitulé Moby Dick, raconte l’histoire d’un grand cachalot albinos qui sillonne les mers pour y semer le mal. Ayant perdu une jambe lors d’une rencontre avec la baleine blanche, le capitaine Achab, aspiré par la folie de la vengeance parcourt les océans du globe pour le tuer. La rencontre sera fatale à son navire qui sombrera sous les assauts de Moby Dick.

Au Vietnam, la baleine est vénérée encore aujourd’hui comme une déesse par les pêcheurs des régions côtières. En récoltant leurs squelettes, ils vouent un culte spectaculaire aux baleines échouées qu’ils implorent pour une pêche fructueuse ou un voyage sans naufrage.

Alors qu’au Ve siècle, Aristote avait déjà avancé que les baleines étaient des mammifères, il faudra tout de même attendre la deuxième moitié du XXe siècle pour percer le miroir de notre imagination grâce à l’exploration scientifique. La recherche sur les cétacés, ne datant que de quelques dizaines d’années, a déjà apporté beaucoup de réponses. Mais tant de questions demeurent ! Les baleines suscitent toujours une vive passion. Certains d’entre eux sont devenus des vraies vedettes de cinéma. De quoi s’interroger sur l’empreinte que ces vieilles chimères ont laissée dans notre imaginaire collectif.

En effet, les baleines nous ressemblent suffisamment pour que nous puissions projeter sur elles notre vision du monde et nos affects en interprétant leurs comportements. Gageons, que quand les mythes s’essoufflent, la science nous livrera des clés pour mieux connaître ces animaux fascinants et leur rendre leur juste place dans la réalité du monde animal tout en préservant notre part de rêve.


Moby Dick
Moby Dick selon le roman d’Herman Melville

CLASSIFICATION

Il est difficile de connaître le nombre exact d'espèces de baleines, car les scientifiques ne sont pas unanimes à ce sujet, certaines espèces étant considérées distinctes par certains et pour d'autres regroupées dans une même espèce. Le taxon regroupe dix à quatorze familles différentes selon les auteurs. Les analyses phylogénétiques effectuées dans les années 1990 montrent que les cétacés à dents et les cétacés à fanons sont bien issus de la même lignée de mammifères marins. Les baleines à dents sont de loin les plus nombreuses et les plus diversifiées, autant par leur forme et leur taille que par leur écologie. Ce groupe inclut le grand cachalot, le narval et le béluga, les baleines à bec de même que les dauphins et les marsouins.

Seules quelques espèces de cétacés sont connues du grand public tel que l’orque et le grand dauphin que l’on retrouve souvent captifs dans des parcs aquatiques. Parmi les géants marins les plus connus sont l’immense rorqual bleu, la charismatique baleine à bosse ou encore le mystérieux grand cachalot. Pourtant, les scientifiques distinguent plus de 90 espèces de cétacés classées dans deux groupes différents.

Les mysticètes sont les cétacés à fanons. Les odontocètes sont les cétacés à dents.


Whale
En anglais la baleine se nomme Whale

* Les Mysticètes (Mysticeti)

Les Mysticètes, nom qui provient du grec "moustache", regroupe les baleines ou cétacés à fanons. Ce sont des animaux qui se nourrissent de krill principalement (crevettes). Ils utilisent leurs fanons comme un peigne pour filtrer les énormes quantités d'eau de mer qu'ils engloutissent dans leur bouche.

* Balaenidae

* Balaena

* Baleine boréale - Balaena mysticetus

* Eubalaena

* Baleine franche australe - Eubalaena australis

* Baleine de Biscaye - Eubalaena glacialis

* Baleine noire du Pacifique nord - Eubalaena japonica

* Eschrichtiidae

* Eschrichtius

* Baleine grise - Eschrichtius robustus

* Balaenopteridae

* Balaenoptera

* Baleine de Minke - Balaenoptera acutorostrata

* Rorqual de Rudolphi - Balaenoptera borealis

* Rorqual de Bryde - Balaenoptera brydei

* Rorqual bleu - Balaenoptera musculus

* Rorqual commun - Balaenoptera physalus

* Megaptera

* Baleine à bosse - Megaptera novaeangliae

* Neobalaenidae

* Caperea

* Baleine pygmée - Caperea marginata


Mysticètes
Les mysticètes

* Les Odontocètes (Odontoceti)

Les Odontocètes regroupent les cétacés à dents. C'est le groupe le plus nombreux dans lequel on retrouve les dauphins, grands cachalots, globicéphales, etc... Leur régime alimentaire est principalement constitué de calmars (on dit qu'ils sont teutophages) et de poissons (ichtyophages).

* Delphinidae

* Cephalorhynchus

* Dauphin de Commerson - Cephalorhynchus commersonii

* Dauphin noir - Cephalorhynchus eutropia

* Dauphin du Cap - Cephalorhynchus heavisidii

* Dauphin d'Hector - Cephalorhynchus hectori

* Delphinus

* Dauphin Commun - Delphinus delphis

* Dauphin commun à long bec - Delphinus capensis

* Dauphin commun d'Arabie - Delphinus tropicalis

* Feresa

* Orque pygmée - Feresa attenuata

* Globicephala

* Globicéphale tropical - Globicephala macrorhynchus

* Globicéphale noir - Globicephala melas

* Orcaella

* Dauphin de l'Irrawaddy - Orcaella brevirostris

* Dauphin à aileron retroussé - Orcaella heinsohni

* Orcinus

* Orque - Orcinus orca

* Peponocephala

* Dauphin d'Electre - Peponocephala electra

* Pseudorca

* Pseudorque - Pseudorca crassidens

* Tursiops

* Grand dauphin - Tursiops truncatus

* Grand dauphin de l'océan indien - Tursiops aduncus

* Dauphin Burrunan - Tursiops Australis

* Grampus

* Dauphin de Risso - Grampus griseus

* Lagenodelphis

* Dauphin de Fraser - Lagenodelphis hosei

* Lagenorhynchus

* Lagénorhynque à flancs blancs - Lagenorhynchus acutus

* Dauphin à nez blanc - Lagenorhynchus albirostris

* Dauphin de Peale - Lagenorhynchus australis

* Dauphin sablier - Lagenorhynchus cruciger

* Dauphin de Gill - Lagenorhynchus obliquidens

* Dauphin obscur - Lagenorhynchus obscurus

* Lissodelphis

* Dauphin du Nord - Lissodelphis borealis

* Dauphin aptère austral - Lissodelphis peronii

* Sotalia

* Tucuxi - Sotalia fluviatilis

* Dauphin de Guyane - Sotalia guianensis

* Sousa

* Dauphin à bosse du Pacifique - Sousa chinensis

* Dauphin à bosse de l'Atlantique - Sousa teuszii

* Stenella

* Dauphin tacheté pantropical - Stenella attenuata

* Dauphin Clymène - Stenella clymene

* Dauphin bleu et blanc - Stenella coeruleoalba

* Dauphin tacheté de l'Atlantique - Stenella frontalis

* Dauphin à long bec - Stenella longirostris

* Steno

* Dauphin à bec étroit - Steno bredanensis

* Iniidae

* Inia

* Dauphin d'Amazonie - Inia geoffrensis


* Lipotes

* Dauphin de Chine - Lipotes vexillifer


* Pontoporia

* Dauphin de la Plata - Pontoporia blainvillei



* Monodontidae

* Delphinapterus

* Béluga - Delphinapterus leucas


* Monodon

* Narval - Monodon monoceros

* Australophocaena

* Marsouin à lunettes - Australophocaena dioptrica

* Neophocaena

* Marsouin de Cuvier - Neophocaena phocaenoides

* Phocoenoides

* Marsouin de Dall - Phocoenoides dalli



* Phocoena

* Marsouin commun - Phocoena phocoena

* Marsouin de Californie - Phocoena sinus

* Marsouin de Burmeister - Phocoena spinipinnis

* Kogia

* Cachalot pygmée - Kogia breviceps

* Cachalot nain - Kogia simus


* Physeter

* Grand cachalot - Physeter macrocephalus

* Platanistidae

* Platanista

* Dauphin du Gange - Platanista gangetica


* Ziphiidae

* Berardius

* Bérardie d'Arnoux - Berardius arnuxii

* Bérardie de Baird - Berardius bairdii

* Hyperoodon

* Hypéroodon boréal - Hyperoodon ampullatus

* Hyperoodon de l'Antarctique - Hyperoodon planifrons

* Tasmacetus

* Tasmacète de Shepherd - Tasmacetus shepherdi

* Ziphius

* Baleine de Cuvier - Ziphius cavirostris

* Mesoplodon

* Baleine de Sowerby - Mesoplodon bidens

* Baleine à bec de travers - Mesoplodon bahamondi

* Baleine d'Andrew - Mesoplodon bowdoini

* Baleine de Hubbs - Mesoplodon carlhubbsi

* Baleine à bec de Blainville - Mesoplodon densirostris

* Baleine de Gervais - Mesoplodon europaeus

* Mésoplodon Japonais - Mesoplodon ginkgodens

* Baleine de Gray - Mesoplodon grayi

* Baleine de Layard - Mesoplodon layardii

* Baleine de True - Mesoplodon mirus

* Mesoplodon "A" - Mésoplodon non Identifié

* Mésoplodon du Pérou - Mesoplodon peruvianus

* Baleine de Longman - Mesoplodon pacificus

* Baleine de Stejneger - Mesoplodon stejnegeri

Odontocètes
Les odontocètes

Fiche d'identité
Nom communBaleine
English nameWhale
RègneAnimalia
EmbranchementChordata
Sous-embranchementVertebrata
ClasseMammalia
Sous-classeTheria
Infra-classeEutheria
OrdreCetartiodactyla
Infra-ordreCetacea

SOURCES


Les baleines.net

Café Oakland

Nausicaa

Dinosoria

Cétacés.fr

Animals

Réseau cétacés

Cetacea online