Zèbre de montagne (Equus zebra)
Le zèbre de montagne (Equus zebra) est l’une des trois espèces de zèbres modernes et se distingue par son adaptation remarquable aux milieux rocheux et escarpés d’Afrique australe. Confiné aux régions montagneuses de Namibie et d’Afrique du Sud, il présente des comportements sociaux et écologiques spécifiques qui reflètent les contraintes physiques de ces habitats arides. Contrairement aux zèbres des plaines, il vit en petits groupes stables et développe une forte capacité à parcourir de longues distances pour trouver eau et pâturages. Espèce emblématique mais menacée, il a subi d’importants déclins avant d’être protégé et partiellement rétabli. Son histoire taxonomique est particulièrement riche, mêlant révisions successives et débats liés à la distinction entre ses sous-espèces.
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CC-BY-NC (Certains droits réservés)Le zèbre de montagne présente une anatomie remarquablement adaptée à la vie dans les terrains accidentés, affichant des caractéristiques physiques qui le distinguent nettement des autres équidés. L'élément le plus distinctif de sa silhouette est sans doute la présence d'un fanon gulaire, un repli de peau pendant sous la gorge, absent chez le zèbre des plaines. Sa robe arbore des rayures noires et blanches très denses qui couvrent l'intégralité du corps, descendant jusqu'aux sabots sans laisser de zone immaculée sur les membres inférieurs. Contrairement à d'autres espèces, le ventre de cet animal est exclusivement blanc, dépourvu de striures, créant un contraste saisissant avec les flancs.
Un autre trait morphologique unique réside dans le motif situé sur la croupe, souvent qualifié de "gril" en raison de la série de bandes transversales courtes qui s'y dessinent, perpendiculaires à la colonne vertébrale, avant de laisser place aux lignes horizontales des pattes postérieures. Les rayures sont généralement plus fines et plus rapprochées que celles observées chez le zèbre des plaines, et l'on ne note jamais la présence de "rayures d'ombre" brunâtres entre les bandes noires principales. Le museau, quant à lui, est teinté de noir et entouré de roux, une coloration qui s'étend parfois légèrement sur la face.
La constitution physique de cet équidé est compacte et musclée, avec une hauteur au garrot oscillant généralement entre 120 et 150 centimètres, le zèbre de Hartmann étant souvent légèrement plus grand que son homologue le zèbre de montagne du Cap. Leurs sabots sont particulièrement spécialisés : ils sont plus étroits, plus durs et plus pointus que ceux des équidés de plaine, une adaptation évolutive essentielle pour grimper avec agilité sur les rochers et les pentes abruptes. Le dimorphisme sexuel est peu marqué, bien que les étalons puissent avoir un cou légèrement plus épais que les juments. Cette architecture corporelle globale reflète une spécialisation poussée pour la survie dans des environnements de montagne difficiles et rocailleux.
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CC-BY-NC (Certains droits réservés)Le zèbre de montagne est actuellement présent en Afrique du Sud, en Namibie et en Angola. Le zèbre de montagne du Cap (Equus zebra zebra) est endémique de la région floristique du Cap en Afrique du Sud, tandis que le zèbre de Hartmann (Equus zebra hartmannae) se rencontre principalement en Namibie, avec de petites populations en Angola et en Afrique du Sud. On suppose qu'autrefois, les deux sous-espèces étaient séparées par une zone dépourvue d'habitat montagneux, le Knersvlakte, qui sépare le Kamiesberg au nord du Roggeveldberge au sud. Cependant, aucune trace historique (antérieure à 1920) du zèbre de Hartmann n'a été retrouvée au sud du fleuve Orange.
Le zèbre de montagne vit dans des zones montagneuses accidentées et escarpées jusqu'à environ 2 000 m d'altitude, caractérisées par une riche diversité d'espèces herbacées et de points d'eau permanents.
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CC-BY-NC-SA (Certains droits réservés)Le régime alimentaire du zèbre de montagne est strictement herbivore, se concentrant principalement sur une grande variété de graminées qui constituent la base de son apport énergétique. Ces animaux sont des brouteurs sélectifs qui privilégient les herbes touffues, notamment celles des genres Themeda, Cymbopogon et Heteropogon, qu'ils consomment en grande quantité pour soutenir leur métabolisme. Contrairement à certains autres ongulés qui peuvent se contenter de fourrage de basse qualité, le zèbre de montagne recherche activement les parties les plus nutritives des plantes, ajustant ses préférences en fonction de la disponibilité saisonnière et de la croissance végétale.
En période de sécheresse ou lorsque les graminées se font rares, ces équidés font preuve d'une certaine plasticité alimentaire en intégrant des feuilles, des écorces, des brindilles et même des racines à leur diète. Cette capacité à diversifier leur alimentation leur permet de survivre dans des écosystèmes où les ressources fluctuent considérablement. L'accès à l'eau est un facteur critique déterminant leurs déplacements quotidiens; ils doivent s'abreuver régulièrement, idéalement tous les jours. Cependant, dans les environnements arides comme ceux habités par la sous-espèce de Hartmann, ils ont développé un comportement ingénieux consistant à creuser le lit des rivières asséchées pour atteindre l'eau souterraine, créant ainsi des points d'eau profitant à d'autres espèces.
L'assimilation des nutriments est facilitée par un système digestif caecal performant, typique des périssodactyles, qui leur permet de traiter de grandes quantités de cellulose, bien que moins efficacement que les ruminants. Ils fréquentent également des sites riches en minéraux, ou "lèches salées", pour compenser les carences en oligo-éléments souvent observées dans les sols pauvres des montagnes. Cette quête incessante de nourriture et d'eau dicte le rythme de leurs journées, alternant entre des phases de pâturage intensif, souvent le matin et en fin d'après-midi, et des périodes de repos pour la digestion durant les heures les plus chaudes.
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All rights reserved (Tous droits réservés)Le système reproductif du zèbre de montagne repose sur une structure sociale polygyne, où un étalon dominant s'accouple avec un harem de juments. Il n'existe pas de saison de reproduction strictement définie, ce qui permet aux naissances de se produire tout au long de l'année, bien qu'un pic soit souvent observé durant la saison des pluies, moment où les ressources alimentaires sont optimales pour la lactation. Le cycle oestral de la femelle dure environ trois semaines, et l'accouplement est précédé de rituels comportementaux où le mâle teste la réceptivité de la femelle par le flehmen et des contacts tactiles.
Après une gestation longue d'environ douze mois, la femelle donne naissance à un unique zébreau, les naissances gémellaires étant extrêmement rares et souvent non viables. Le nouveau-né, précoce comme la plupart des ongulés, est capable de se tenir debout et de suivre sa mère moins d'une heure après la mise bas, une nécessité vitale face aux prédateurs. Durant les premières semaines, la mère fait preuve d'une vigilance extrême et isole activement son petit des autres membres du troupeau pour renforcer l'imprégnation et s'assurer qu'il reconnaisse sa propre odeur et ses rayures uniques.
Le sevrage est un processus progressif qui s'étend généralement sur dix mois, bien que le jeune puisse commencer à grignoter de l'herbe dès l'âge de quelques semaines. Les jeunes mâles quittent le groupe natal volontairement ou sous la pression de l'étalon dominant vers l'âge de deux ans, rejoignant alors des groupes de célibataires avant de tenter de former leur propre harem. Les femelles, quant à elles, peuvent rester dans leur groupe natal plus longtemps ou être "enlevées" par d'autres mâles lors de rencontres entre troupeaux. L'intervalle entre les naissances est généralement de deux ans, permettant à la mère de reconstituer ses réserves énergétiques après l'allaitement coûteux.
La longévité du zèbre de montagne est relativement comparable à celle des autres équidés sauvages vivant en milieux arides. Dans la nature, il atteint généralement un âge compris entre 20 et 25 ans, bien que les individus vivant dans des zones protégées ou moins exposés aux prédateurs puissent parfois dépasser ces valeurs. En captivité, où les conditions alimentaires, médicales et environnementales sont plus favorables, certains spécimens peuvent vivre jusqu’à 30 ans, voire légèrement plus. La survie à long terme dépend fortement de la disponibilité des ressources, de la pression exercée par les prédateurs, et de la stabilité sociale des groupes, les jeunes étant particulièrement vulnérables durant leurs premières années.
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CC-BY-SA (Certains droits réservés)Le zèbre de montagne est un animal grégaire dont l'organisation sociale repose sur de petits noyaux familiaux stables, composés d'un étalon adulte, d'une à cinq juments et de leur progéniture. Contrairement aux immenses migrations observées chez les zèbres des plaines, le zèbre de montagne ne forme pas de troupeaux gigantesques, bien que plusieurs familles puissent se regrouper temporairement autour de ressources abondantes en eau ou en pâturage. Une hiérarchie linéaire stricte existe au sein du harem, généralement dirigée par la jument la plus âgée ou la plus expérimentée, qui guide les déplacements du groupe, tandis que le mâle ferme la marche pour surveiller les environs et défendre sa famille contre les rivaux ou les menaces.
L'activité de ces équidés est principalement diurne, avec des pics d'activité tôt le matin et en fin d'après-midi pour éviter la chaleur accablante de la mi-journée. Durant les heures chaudes, ils cherchent souvent l'ombre des affleurements rocheux ou des arbres, utilisant leur queue pour chasser les insectes parasites. Les bains de poussière sont une activité sociale et hygiénique fréquente; ils se roulent vigoureusement dans le sol sec pour se débarrasser des parasites externes et entretenir leur pelage. Le toilettage mutuel, où deux individus se tiennent tête-bêche pour se mordiller l'encolure et le dos, renforce la cohésion sociale et apaise les tensions au sein du groupe.
La communication passe par une gamme variée de signaux visuels, olfactifs et auditifs. Si leurs vocalisations sont moins fréquentes que celles du zèbre des plaines, ils émettent un cri aigu et strident ressemblant à un hennissement pour alerter le groupe d'un danger. Les postures corporelles, telles que la position des oreilles (couchées en arrière en signe d'agression ou de peur, dressées pour l'attention) et la position de la tête, sont cruciales pour exprimer l'humeur et les intentions. En cas de conflit entre étalons pour la dominance ou l'accès aux femelles, les combats peuvent être violents, impliquant des morsures au cou et aux pattes ainsi que de puissants coups de sabots.
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CC-BY-SA (Certains droits réservés)Dans leur habitat accidenté, les zèbres de montagne doivent faire face à plusieurs grands carnivores africains, bien que la topographie difficile de leur environnement offre parfois un refuge naturel contre certaines attaques. Le lion (Panthera leo) représente la menace la plus significative pour les adultes, capable de tendre des embuscades dans les zones où la végétation ou les rochers permettent une approche furtive. Les léopards (Panthera pardus) et les guépards (Acinonyx jubatus) ciblent plus fréquemment les poulains ou les individus affaiblis, tirant parti de leur agilité pour naviguer dans les terrains escarpés que ces équidés affectionnent.
La hyène tachetée (Crocuta crocuta) constitue également un prédateur redoutable, chassant souvent en clan pour isoler un individu du troupeau, particulièrement les jeunes ou les femelles gravides. Face à ces menaces, la stratégie de défense primaire du zèbre de montagne est la fuite; grâce à ses sabots durs et son agilité sur les pentes rocailleuses, il peut souvent semer des poursuivants moins adaptés au relief. Cependant, lorsqu'ils sont acculés ou doivent défendre leur progéniture, ils deviennent des adversaires dangereux, capables d'infliger des blessures mortelles par des ruades puissantes et des morsures.
L'étalon joue un rôle de protecteur actif; en cas d'alerte, il s'interpose souvent entre le prédateur et sa famille, chargeant parfois l'assaillant pour donner aux juments et aux poulains le temps de s'échapper. La vigilance collective est une autre clé de leur survie : lorsqu'un groupe se repose ou s'abreuve, au moins un individu reste généralement en alerte, scrutant l'horizon et humant l'air pour détecter la moindre odeur suspecte. Cette surveillance partagée réduit considérablement le taux de réussite des prédateurs qui comptent sur l'effet de surprise pour capturer ces proies robustes et méfiantes.
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CC-BY-SA (Certains droits réservés)Le zèbre de Hartmann, comme celui du Cap, fait face à des menaces croissantes qui pourraient entraîner un déclin dramatique, notamment en cas de sécheresses prolongées, comme celles observées au début des années 1980. Les épisodes climatiques extrêmes ont déjà eu des conséquences désastreuses sur des espèces apparentées, telles que le cheval de Przewalski en Mongolie, et affectent actuellement le zèbre de Grévy au Kenya. Les activités agricoles intensives, avec l’extension des clôtures et la restriction de l’accès aux points d’eau, aggravent encore cette situation en perturbant les déplacements naturels de ces animaux.
La principale menace pesant sur le zèbre de montagne du Cap réside dans la perte de diversité génétique, exacerbée par la consanguinité au sein de petites sous-populations isolées. Bien que des efforts de translocation aient permis de créer de nouvelles populations, la majorité des individus proviennent du parc national du zèbre de montagne (MZNP), à l’exception de la réserve naturelle de De Hoop, qui abrite des animaux issus de plusieurs sources. Cette fragmentation génétique est préoccupante : deux tiers du patrimoine génétique total se concentrent dans seulement deux populations, tandis que le reste est réparti entre le MZNP et d’autres sites réintroduits. La gestion des métapopulations reste insuffisante, et les groupes fondateurs, souvent réduits, augmentent les risques de dérive génétique et de vulnérabilité aux maladies, comme en témoignent les épidémies de sarcoïdes observées dans certaines sous-populations.
Autrefois, la chasse intensive pour sa peau et la compétition avec le bétail représentaient les principales pressions sur cette espèce. Aujourd’hui, l’hybridation avec d’autres zèbres, comme le zèbre des plaines ou le zèbre de Hartmann, constitue une menace majeure. Des études récentes, basées sur des analyses génétiques, confirment des cas d’hybridation dans des zones comme le parc national d’Etosha, bien que les causes exactes (naturelles ou artificielles) restent à éclaircir. En Namibie, le commerce des peaux de zèbre de Hartmann persiste, nécessitant une surveillance accrue pour éviter une surexploitation.
Enfin, la réintroduction de grands prédateurs, tels que les lions et les guépards, dans les zones abritant des sous-populations de zèbres de montagne, représente une menace émergente. Bien que des données préliminaires suggèrent un impact sur la dynamique des populations, des recherches supplémentaires sont indispensables pour en évaluer l’ampleur. Une gestion intégrée, combinant conservation génétique, régulation de la chasse et suivi des prédateurs, s’impose pour assurer la survie à long terme de cette espèce emblématique.
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CC-BY-SA (Certains droits réservés)Selon la classification actuelle, le zèbre de montagne est considéré comme une espèce menacée. Il est classé dans la catégorie "Vulnérable" (VU) sur la Liste rouge de l'IUCN et inscrit en Annexe I de la CITES.
Les aires protégées et les zones d'habitat de qualité sont essentielles à la conservation du zèbre de montagne, notamment en Afrique du Sud. Le zèbre de Hartmann doit se déplacer avec agilité sur de très grandes distances en fonction des variations spatiales et temporelles des précipitations et de la production primaire. Par conséquent, de vastes zones connectées et abritant un habitat adéquat sont indispensables à la survie de populations viables.
Les actions cruciales pour le zèbre de Hartmann comprennent un meilleur suivi de sa population, une approche régionale de l'aménagement du territoire, ainsi que des recherches sur l'écologie des zèbres, l'hybridation et les relations entre l'homme et le zèbre. Concernant le zèbre de montagne du Cap, les actions de conservation clés consistent en l'élaboration et la mise en oeuvre d'une stratégie de gestion des métapopulations et d'un plan de gestion de la biodiversité.
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CC-BY-SA (Certains droits réservés)L'histoire taxonomique du zèbre de montagne est riche et illustre l'évolution de la compréhension scientifique des équidés africains. C'est Carl von Linné qui, en 1758, a officiellement décrit l'espèce sous le nom d'Equus zebra dans son ouvrage fondateur Systema Naturae. À cette époque, il s'agissait du premier zèbre formellement classifié par la science occidentale, et le spécimen type provenait des montagnes de la région du Cap, en Afrique du Sud. Pendant longtemps, le terme "zèbre" désignait spécifiquement cette espèce de montagne, avant que la découverte et la description d'autres formes, comme le quagga et le zèbre des plaines, ne complexifient la classification du genre Equus.
À la fin du XIXe siècle, les naturalistes ont commencé à noter des différences morphologiques significatives entre les populations du sud de l'Afrique et celles situées plus au nord, en Namibie et en Angola. C'est ainsi qu'en 1898, le zoologiste allemand Paul Matschie a décrit une nouvelle forme qu'il a nommée Equus hartmannae, en l'honneur de l'épouse du géographe Georg Hartmann. Pendant une grande partie du XXe siècle, un débat a animé la communauté scientifique pour déterminer si le zèbre de Hartmann devait être considéré comme une espèce distincte ou simplement comme une sous-espèce du zèbre de montagne.
Les classifications modernes, s'appuyant sur des analyses génétiques mitochondriales et nucléaires ainsi que sur des études morphométriques poussées, tendent aujourd'hui à regrouper ces deux taxons sous une seule espèce, Equus zebra. Elles sont toutefois reconnues comme deux sous-espèces distinctes : Equus zebra zebra (le zèbre de montagne du Cap) et Equus zebra hartmannae (le zèbre de Hartmann). Cette distinction est cruciale pour les efforts de conservation, car les deux populations ont subi des histoires démographiques très différentes.
L'IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature) a longtemps évalué ces sous-espèces séparément en raison de leurs statuts de conservation divergents. Le zèbre de montagne du Cap a frôlé l'extinction au milieu du XXe siècle, avec moins de 100 individus restants, avant que des mesures de protection drastiques ne permettent un rétablissement spectaculaire. En revanche, le zèbre de Hartmann, bien que plus nombreux, a souffert d'un déclin continu dû à l'exploitation commerciale. La reconnaissance de leur lien taxonomique étroit, tout en respectant leurs unités de gestion distinctes, permet aujourd'hui d'élaborer des stratégies de préservation plus ciblées et efficaces, basées sur une compréhension claire de leur divergence évolutive historique.
| Nom commun | Zèbre de montagne |
| English name | Mountain zebra |
| Español nombre | Cebra de montaña |
| Règne | Animalia |
| Embranchement | Chordata |
| Sous-embranchement | Vertebrata |
| Super-classe | Tetrapoda |
| Classe | Mammalia |
| Sous-classe | Theria |
| Infra-classe | Eutheria |
| Ordre | Perissodactyla |
| Famille | Equidae |
| Genre | Equus |
| Nom binominal | Equus zebra |
| Décrit par | Carl von Linné (Linnaeus) |
| Date | 1758 |
Satut IUCN | ![]() |
* Zèbre de Hartmann
Zèbre de Hartmann (Equus zebra hartmannae)
* Zèbre de montagne du Cap
Zèbre de montagne du Cap (Equus zebra zebra)
* Liens internes
Liste Rouge IUCN des espèces menacées
Mammal Species of the World (MSW)
Système d'information taxonomique intégré (ITIS)
* Liens externes
Global Biodiversity Information Facility (GBIF)
* Bibliographie
Linnaeus, C. (1758). Systema Naturae per regna tria naturae, secundum classes, ordines, genera, species, cum characteribus, differentiis, synonymis, locis. Editio decima, reformata.
Grubb, P. (2005). “Order Perissodactyla.” In Mammal Species of the World (3rd ed.). Johns Hopkins University Press.
Moodley, Y., & Harley, E. H. (2005). “Population structure and phylogeography of the mountain zebra (Equus zebra).” Molecular Ecology.
Harley, E., Knight, M. H., Lardner, C., Wooding, B., & Lloyd, P. (2009). “The anthropogenic impact on mountain zebra demography.” Conservation Genetics.
Kingdon, J. (1997). The Kingdon Field Guide to African Mammals. Academic Press.
Estes, R. D. (1992). The Behavior Guide to African Mammals. University of California Press.
Skinner, J. D., & Chimimba, C. T. (2005). The Mammals of the Southern African Subregion. Cambridge University Press.
Novellie, P. et al. (2016). Cape Mountain Zebra National Management Plan. South African National Parks.
Novellie, P., Millar, P., & Lloyd, P. (2002). “The conservation biology of the Cape mountain zebra.” Biological Conservation.



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